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Auschwitz
Des bâtiments à en perdre la vue
La neige a recouvert le peu d’herbe
Sans parvenir à cacher la noirceur.
A qui sait bien tendre l’oreille
Les cris, les pleurs, même les silences
Font encore violence
Se propagent en nous
Jusqu’à l’horreur.
Ne jamais oublier
Que tout pourrait recommencer.
Et pourtant,
L’humain ne tire aucune leçon du passé
Il veut toujours plus
Il n’a toujours pas compris
Que le plus important
C’est l’amour porté aux autres…
Isabelle Vouriot - ©texte déposé – 30 avril 2017
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